Sur une scène éclairée en orange, une personne danse, les bras levés. Sa tête est entièrement recouverte par un ancien téléviseur cubique. En arrière-plan, une grande image de la lune est projetée sur un écran.
Disciplines :
  • Danse

Plutôt vomir que faillir

Rébecca Chaillon

24-25

Lieu : Signelazer

Studio

Durée :

environ 110 minutes

production

Chara Afouhouye
Zakary Bairi
Mélodie Lauret
Anthony Martine

Céline Champinot dramaturge et collaboratrice à la mise en scène,

Jojo Armaing assistant à la mise en scène, Shehrazad Dermé scénographe, Élisa Monteil créatrice son, Suzanne Péchenar créatrice lumières et régisseuse générale, Arnaud Troalic création dispositif réseau-vidéo, Myriam Bertin régisseuse lumières, Jenny Charreton régisseuse son, Marianne Joffre régisseuse plateau, Mara Teboul – L’œil écoute production, Mélodie Lauret paroles et composition des chansons Tout mon sang, Et si je l’étais ?Poil, Putréfaction, CDN de Besançon accompagnement, Florence Bruchon créatrice costumes, David Chazelet, Antoine Peccard, Thomas Szodrak construction du décor, Rémy – Savoir-Fer réalisation couverts, L’Arche représentant agence théâtrale

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Compagnie dans le ventre production, CDN Besançon – Franche-Comté, TPR – Centre neuchâtelois des arts vivants – La Chaux-de-Fonds, Maison de la Culture d’Amiens, Le Maillon Théâtre de Strasbourg – Scène européenne, Théâtre du Beauvaisis – Scène nationale, Le Phénix – Scène nationale de Valenciennes, Centre dramatique national Orléans – Centre Val-de-Loire, Le Carreau du Temple – Établissement culturel et sportif de la Ville de Paris, La Manufacture – CDN Nancy – Lorraine coproduction

Un poème performatif et collectif né des émotions violentes qui se nouent à l’adolescence.

Rébecca Chaillon poursuit sa quête autour de la représentation des corps, de la sexualité, du sentiment du désir, de l’appétit et du dégoût. Plutôt vomir que faillir est le fruit du souvenir de ses douloureuses années de collège, cet âge que l’on dit ingrat, où l’intime en construction se heurte au rejet, au silence, à la colère.

Quatre jeunes performeur·ses s’emparent de cette rage et tentent d’exorciser leur propre adolescence en se racontant. Un exercice d’autofiction destiné à se réconcilier avec soi-même pour mieux s’ouvrir à l’autre.