4211 km 

Billetterie

Lieu : Bruxelles Centre culturel d'Uccle

26€ – Tarif plein
23€ – + 65 ans
13€ – - 27 ans
13€ – Carte Astrac
13€ – Demandeurs d'emploi / Allocataires sociaux

Une carte de pointage ou justificatif est susceptible de vous être demandé au contrôle des tickets.

13€ – PMR

Tarif pour personne à mobilité réduite ou présentant un handicap.
La salle ne pouvant contenir que 10 fauteuils roulants, il est préférable d’appeler la billetterie avant de réserver (02/374.64.84).

7€ – Ecoles supérieures d'art

Une carte d’étudiant d’une école d’art vous sera demandée au contrôle des tickets

« Quand nous sommes partis d’Iran, nous pensions que ce serait pour quelques semaines, ça fait bientôt 50 ans ». Mon père m’a dit ces mots récemment. Ça résume bien notre histoire. » Aïla Navidi

4211 kilomètres c’est la distance qui sépare Téhéran de Paris – où Mina, Fereydoun, et leur fille Yalda, s’installent en 1979. Ils fuient les persécutions du nouvel état islamique d’Iran et de son guide suprême l’ayatollah Komeiny. 4211 kilomètres, c’est également la distance qui sépare deux mondes : celui des déracinés et du lien indéfectible qu’ils entretiennent avec le pays d’origine ; et de notre bonne vieille société occidentale qui peine à leur faire une place.
Yalda n’a jamais vécu en Iran, « pourtant j’avais l’impression d’y vivre dès que j’ouvrais les portes de notre appartement, ce lieu où l’on ne parlait que le Farsi et l’Azéri, où l’on mangeait, vivait et respirait à l’Iranienne. » Elle vit dans ce monde binaire dans lequel on doit être iranien ou français – pas les deux -, où l’accent de ses parents lui fiche la honte, où elle a le devoir de réussir et d’être exemplaire.
De manière singulière, 4211 km offre à rencontrer cette large famille d’exilés qui se retrouvent, se protègent, s’aiment et se fêtent. Qui y croient dur comme fer. Et donnent, à la manière d’un Ken Loach, l’espoir de futurs possibles.
4211 km témoigne du combat mené par les Iranien.ne.s pour leur liberté. Que ce soit hier ou aujourd’hui. Nous pensons qu’on en sort meilleur. Plus tendre. Avec le cœur plus gros et propre à rejoindre des élans de solidarité.

« Un récit poignant, magnifiquement joué, qui éclaire avce poésie et humanisme toute la complexité et l’âpreté de l’immigration. » La Libre ****
« De leur pudeur émane la beauté, mais aussi la force d’un combat pour la liberté, plus essentiel et d’actualité que jamais. » Télérama
« On vous met au défi de ne pas sortir en larmes. » L’Echo

Récompenses
Molière du Théâtre Privé 2024 et Molière de la Révélation Féminine 2024.
Avec les soutiens de la SACD Paris, de la Ligue de l’enseignement, de MC93 Bobigny, du Festival d’Anjou. 

Ecriture : Aïla Navidi.
Avec : June Assal et Lola Blanchard (en alternance), Sylvain Begert, Florian Chauvet, Olivia Pavlou-Graham, Damien Sobieraff, Deniz Türkmen et Aïla Navidi (en alternance).
Scénographie Caroline Frachet. Création lumières Gaspard Gauthier.
Création sonore Erwann Kerroc’h.
Chorégraphie Alfonso Baron. Régie générale Moïra Dalant.
Production Clémentine Armand. Production Compagnie Nouveau Jour.

Dès 12 ans
Durée : 1h30 sans entracte

Tarif de groupe à 23€ à partir de 10 personnes (disponible en ligne).
Tarif scolaire à 9€/élèves pour groupe de 10 minimum (02/374.64.84, entre 11h et 18h).
Tarif Article 27 uniquement au guichet ou par téléphone (02/374.64.84, entre 11h et 18h).