Portrait en clair-obscur d'un homme barbu aux cheveux bouclés. Plongé dans le noir, seul son visage tourné vers le ciel et sa main levée sont éclairés. Il semble contempler une petite étoile lumineuse visible en haut à gauche de l'image.
Disciplines :
  • Théâtre
Publics :
  • Dès 15 ans

Rumba

Billetterie

Lieu : Watermael-Boitsfort La Vénerie / Espace Delvaux

Durée :

105 minutes

22€ – Prix solidaire

Vous êtes en mesure de payer un peu plus que le tarif suggéré? Vous permettez ainsi au Centre culturel de pérenniser ces prix accessibles à toustes.

15€ – Prix suggéré

Un prix en accord avec l’activité proposée.

8€ – Prix plume

Un prix moins élevé que le tarif suggéré pour permettre de faciliter votre venue.

Combien d’étoiles il y a dans le ciel ?
Il y en a tellement qu’on ne peut pas les compter.

Après Laïka et Pueblo, les deux premiers volets de cette « trilogie des pauvres diables » portée par le comédien David Murgia et l’auteur italien Ascanio Celestini, Rumba vient clore ce triptyque. Cette dernière création nous entraîne en périphérie de la ville, aux côtés de personnages précarisés, pour qui la débrouille se bricole à même le pavé.

Sur le même asphalte imaginé, dans cette même zone de périphérie urbaine et humaine, aux abords d’un parking de supermarché et d’un entrepôt de logistique, entre le bar du coin et un immeuble d’habitations populaire, Celestini et Murgia racontent le va-et-vient d’une humanité sur le parking. Des personnages qui chaque jour accomplissent le miracle de survivre dans un monde qui les broie. Dans Laika, le narrateur raconte ce qu’il a vu. Dans Pueblo, il raconte ce qu’il imagine. Dans Rumba, le narrateur descend sur le parking, avec Pierre et son accordéon.

Cette fois, l’histoire se déroule la nuit de Noël. Sous un ciel étoilé, ils préparent un petit spectacle. Les récits font surgir les silhouettes de celleux que nous nous obstinons à ne pas vouloir voir, alors qu’en filigrane se dessine une version contemporaine de l’histoire de Saint François d’Assise. S’il était né en 1982 plutôt qu’en 1182, qui croiserait-il sur sa route ? Et sur le parking du supermarché, quelle crèche réaliserait-il au milieu des poubelles ?