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Retranscription : 00:00 - 00:06
(Musique de percussion métallique et rythmée qui commence)
Dans une pièce sombre aux murs vert-de-gris, un homme en costume noir ajuste un abat-jour sur une lampe sur pied. Il se retourne et s'approche d'une grande porte métallique, puis d'une seconde porte identique à côté. Il semble hésiter.
00:06 - 00:17
(La musique s'intensifie, devenant plus rapide et angoissante)
Le montage alterne très rapidement entre deux scènes.
Dans la première, l'homme pousse frénétiquement la porte de droite, qui semble résister.
Dans la seconde, une femme vêtue de sous-vêtements est assise dans un fauteuil, dans une pièce très sombre. Elle lève une jambe en l'air avec force, au rythme de la musique.
Le montage s'accélère. La femme se lève brusquement de son fauteuil et court vers une des portes qui s'ouvre sur l'obscurité. L'homme, dans sa propre scène, court à son tour vers une autre porte. Ils disparaissent tous les deux. La porte de l'homme se referme violemment.
00:17 - 00:23
(La musique s'arrête brusquement. Silence)
L'homme réapparaît seul sur la scène sombre, près du fauteuil. Il se tient un instant, puis s'éloigne et disparaît dans l'obscurité.
00:23 - 00:36
(Une musique d'ambiance, douce et mystérieuse, commence)
Changement de décor. La scène représente une pièce chaleureuse avec des murs lambrissés en bois, comme une cabine de bateau ou une chambre d'hôtel vintage. Plusieurs personnes sont allongées sur le sol rouge, immobiles, comme endormies ou sans vie. Une femme aux cheveux longs, en débardeur et jupe, entre avec précaution. Elle se penche et tend la main vers une autre femme allongée sur le sol. Soudain, un homme surgit derrière elle et l'attrape par la taille.
00:37 - 00:54
(La musique devient plus tendue. Un montage rapide de scènes courtes et énigmatiques commence)
Une femme en robe bleue, éclairée par le bas, tient un paquet emmailloté dans ses bras, comme un bébé, et regarde fixement devant elle.
Dans la pièce aux murs verts, une femme danse de manière saccadée, se pliant en deux, tandis qu'un homme en costume s'approche d'elle les bras ouverts.
Dans la pièce lambrissée, un homme et une femme dansent en s'enlaçant passionnément.
Un homme se penche sur un lit où repose une forme humaine entièrement recouverte d'un drap bleu. Il pose délicatement sa main dessus.
Un homme est affalé sur une chaise à une petite table, la tête en arrière, une tache de sang sur sa chemise blanche.
Une personne nettoie une petite fenêtre ou un miroir de l'intérieur.
La femme en débardeur et jupe danse sauvagement dans la pièce aux murs verts, donnant des coups de pied et tournoyant.
00:55 - 1:17
(La musique électronique s'intensifie de nouveau, avec des sons stridents et un rythme très rapide)
Le montage devient extrêmement rapide, montrant des éclats de danse physique et parfois violente.
Un homme en trench-coat saisit une femme à la gorge.
Des danseurs courent et se jettent au sol dans la pièce en bois.
Une femme glisse et tombe dans une grande flaque d'eau.
Un homme torse nu, dans une pose contorsionnée, est sur un sol violet et humide.
Un homme en chemise danse avec une énergie désespérée.
Une femme exécute des mouvements acrobatiques au sol.
Un homme et une femme dansent frénétiquement, l'homme la saisissant.
Un homme tourne sur lui-même au sol.
Un homme se regarde dans le miroir circulaire d'une porte.
Une femme est allongée sur le dos sur un lit, les jambes en l'air.
Dans une ambiance enfumée et devant un fond de flammes, deux silhouettes nues sont enlacées au sol.
Dans le noir, le faisceau d'une lampe de poche éclaire une silhouette à travers la petite fenêtre d'une porte.
1:17 - 1:28
La scène finale du montage. Le sol est entièrement recouvert d'eau. Plusieurs danseurs se déplacent avec une énergie chaotique, glissant, tournant, et projetant des éclaboussures. En arrière-plan, une grande baie vitrée montre un ciel d'orage. Une femme au centre danse avec abandon, ses cheveux volant autour d'elle. Une autre femme, habillée en soubrette, glisse le long d'un mur et s'effondre au sol.
(La musique s'arrête net)
1:28 - 2:02
(Une musique chorale lyrique et mélancolique, chantée par des voix féminines, commence)
L'ambiance devient lente et sombre.
Une femme est assise seule, son ombre projetée sur le mur.
Un groupe de personnes, dont la femme en soubrette, se tient dans l'embrasure d'une porte, regardant avec inquiétude vers l'extérieur de la scène.
Ils se regroupent, se tenant les uns les autres, et regardent tous dans la même direction, vers une pièce sombre.
La femme en soubrette jette un regard craintif par-dessus son épaule depuis le coin d'un mur.
2:02 - 2:07
L'écran final apparaît. Sur la droite, une photo de la performance : l'homme en trench-coat tient la femme à la gorge, leurs visages exprimant la tension. Sur la gauche, le texte suivant s'affiche :
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Mar 28-29, 2025
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